Mangez-moi, Agnès Desarthe
Publié le 25 Novembre 2013
Encore un livre conseillé par une frangine.
Elle m'en a donné 2 en me disant l'un est triste, l'autre est plus drôle.
J'ai bien évidemment commencé par le plus drôle.
2 heures de train puis une nuit d'insomnie sont ainsi passées à toute vitesse.
Comme cette cuisinière qui déploie soudain son 3ème bras dans son dos pour aller plus vite.
Myriam ouvre un restaurant dans Paris, au culot.
Elle a une bonne âme et une bonne étoile.
Elle a pris des claques.
Une surtout.
Elle utilise parfois des mots compliqués. Avec une simplicité déconcertante. Ainsi après préraphaélite il a fallu que je cherche phalanstère. Encore un "ph". Il s'agit d'une sorte d'utopie, une habitation énorme, un palais pour 2000 personnes avec des règles de vie communautaire un peu particulières. Je me suis demandé si la cité radieuse de Le Corbusier à Marseille avait ce type d'origine.