De rouille et d'os, Jacques Audiard
Publié le 7 Mars 2013
Ce film est sorti quelques mois après "Intouchables". J'avais fini (toujours un peu en décalage) ce film vedette du box officeet j'avais plutôt apprécié. En lisant le résumé pour "De rouille et d'os" dans l'avion je m'étais dit "oh, non ! pas encore un film sur les bons sentiments de la racaille face aux accidents de la vie" (le paraplégique dans "Intouchables" et l'amputée dans "de Rouille et d'os"). Alors j'avais laissé ce film de côté en me disant que je le regarderai un autre jour.
Récemment je l'ai regardé et, comme pour le bouquin de Lisa See, devant trop d'intensité il m'a été nécessaire de faire un break. De couper et de regarder la fin plaus tard, 2 ou 3 semaines après. J'avais envie de connaître la fin mais j'avais besoin de respirer un peu, de revenir à ma normalité avant de replonger dans cette tension, cette violence.
Il parait que c'est le style de Jacques Audiard, toute cette tension qui s'accumule, cette violence qui nous inquiète car on ne sait pas où elle s'arrête...